Pédagogie: et si vous remplaciez les Yaka par des Kapla?
Le jeu de toutes les constructions
1. L’histoire des KAPLA
Il y a 30 ans, Tom van der Bruggen, un Hollandais passionné d’architecture rêvait de construire un château en France, avec tourelles et des douves. Pour faire la maquette de sa construction, il utilisa des petits blocs en bois : c’est alors qu’il constata que pour les surfaces planes (toit, plancher, linteau), ce volume n’était pas adéquat. Il le remplaça alors par des planchettes de taille identique, aux proportions particulières: 1 largeur 3 x supérieure à l’épaisseur, et 1 longueur 5 fois plus grande que la largeur. La planchette en bois mesure 11,6 cm de longueur et 2,3 cm de largeur.
En 1987, les “planchettes de lutin” (KAbouter PLAnkjes) sont lancées en jeu de construction. La marque KAPLA était née et allait conquérir le monde. Les planchettes KAPLA sont issues de forêts de pins des Landes 100% renouvelables. Le bois utilisé est entièrement naturel et non-traité. Les matières premières utilisées sont soigneusement sélectionnées puis testées de façon indépendante par des laboratoires spécialisés.
2. Le jeu des KAPLA
L’imagination, la patience et le doigté permettent de réaliser des constructions plus ou moins élaborées. Les possibilités sont infinies. On peut même se servir des Kapla dans une approche éducative et émotionnelle.
3. Les valeurs pédagogiques des KAPLA
L’éveil de l’aptitude à organiser des éléments dans un espace en 3 dimensions est sollicité et invite l’enfant à réaliser qu’il a des moyens d’action sur la matière. Pour l’école, il existe un kit pédagogique (1000 planchettes dans un sac en toile, 4 livres d’art, ainsi que 3 fiches d’instruction).
Ce jeu d’apprentissage va favoriser: l’agilité, la concentration, la rigueur, la fantaisie, l’enthousiasme et l’esprit d’équilibre. En classe, il peut illustrer des matières telles que: la géométrie, la logique, la physique, la technologie, l’histoire de l’art, l’univers des formes et des volumes. Dans tous les cas, la construction est éphémère et finit par s’écrouler. Il s’agit donc aussi d’une invitation perpétuelle à recommencer.
“Ce qui compte, ce n’est pas d’avoir réalisé quelque-chose, mais de s’être réalisé soi-même en créant”.
Et si vous découvriez en image, quelques réalisations exceptionnelles ?
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Source: papapositive.fr